Découvrez ici mes thématiques de prédilection en tant qu’expert en psychologie positive, conférencier international, TEDx speaker et intervenant en entreprise. Des sujets que nous pourrons aborder dans le cadre de conférences, de débats ou d’ateliers participatifs avec vos équipes… Mais aussi à l’occasion d’événements divers et variés tels que des congrès, séminaires, colloques, et autres rassemblements d’experts dans les domaines de la psychologie positive, de la résilience et du bien-être. Qu’il s’agisse de qualité de vie au travail ou en contexte scolaire, je me ferai une joie de participer à votre événement et de contribuer à son succès !
La résilience est souvent présentée comme la capacité à se remettre de l’adversité. Il peut s’agir de difficultés du quotidien, comme d’événements plus graves. Mais de quoi s’agit-il exactement ? D’un trait de personnalité ? D’une faculté que l’on peut acquérir ? Et quel est le rôle de notre environnement dans tout ça ?
Selon les environnements, en psychologie du travail, en psychologie de la santé ou en psychologie de l’éducation, qu’on soit Nord-Américain ou Français, force est de constater que la résilience présente des facettes différentes. Mes conférences sur cette thématique ont donc pour objectif d’apporter des précisions conceptuelles importantes. Nous l’envisagerons selon différentes définitions et différents contextes.
Véritable ressource, la résilience se révélera à la fois en tant que trait de personnalité, mais aussi comme le fruit d’un processus engageant différentes ressources psychologiques. Par conséquent, elle évolue en fonction des expériences de vie de l’individu. Elle dépend également des interactions de ce dernier avec son environnement social, ses proches, ses collègues, etc. Autrement dit, la résilience ne peut que s’envisager dans sa dynamique et dans les interactions avec l’environnement.
Celui qui fait est motivé, celui qui ne fait pas n’est pas motivé…
Cette conception triviale de la motivation cache une grande complexité. En effet, ne pas faire révèle la motivation à ne pas faire ! Pourquoi ? Comment interpréter ce comportement ? Est-il possible d’identifier des leviers afin de stimuler la motivation des personnes ?
Il s’agit ici de définir ce qu’il est possible d’entendre par « motivation », et par « comportement motivé ». Nous n’aborderons évidemment pas en détail les 120 théories identifiées par mon ami Fabien Fenouillet (2023), professeur de psychologie cognitive Français. Nous nous concentrerons plutôt sur des prismes d’analyse offrant à la fois des éléments de compréhension ainsi que des éléments d’intervention.
Nous nous attarderons naturellement sur les critères d’un environnement de travail de qualité, propice à la motivation des salariés. Et nous reviendrons également sur des manières efficaces de soutenir vos équipes, en prenant en compte la personnalité de chacun.
Découvrez toutes les modalités de mes interventions en entreprise.
La qualité de vie au travail recouvre un ensemble de déterminants qui vont avoir un effet important sur le bien-être et la satisfaction des personnes. Il peut s’agir ici de salariés, de patrons ou d’élèves en environnement scolaire par exemple. Quels sont ces déterminants ? Dans quelle mesure est-il possible d’intervenir ? Pourquoi est-il essentiel de porter la réflexion sur ces aspects ?
En effet, l’objectif de l’entreprise ou d’un établissement scolaire est d’atteindre le meilleur niveau de performance : chiffre d’affaires dans un cas, résultats aux examens dans l’autre. Mais cette conception de la performance est très limitée et réductrice. C’est la raison pour laquelle elle sera précisée.
Dès lors, il conviendra de s’interroger sur le poids de l’environnement psychosocial dans lequel les individus évoluent et sur l’impact potentiel qu’il peut avoir sur le niveau de performance. Ici, focus sur plusieurs résultats de recherche (par exemple Lyubomirsky, King, & Diener, 2005 ; Lester, Stewart, Vie, Bonett, Seligman, & Diener, 2021).
Promouvoir la qualité de vie des personnes, c’est les engager dans une boucle vertueuse, puisque celle-ci peut avoir un impact sur :
Et tous ces éléments vont, à leur tour, alimenter leur qualité de vie.
En tant qu’expert en psychologie positive, j’aborde différents aspects de l’environnement psychosocial, ainsi que les façons de les exploiter en vue d’un impact positif sur vos salariés et votre chiffre d’affaires.
L’optimisme, c’est s’attendre au meilleur ! Inévitablement, ce dernier va avoir des conséquences bénéfiques pour la personne, tandis que le pessimisme aura des conséquences délétères. Mais, est-il aussi vrai que l’optimisme n’a que des conséquences positives et le pessimisme que des effets négatifs ?
Et qu’est-ce que l’optimisme au juste ? Dépend-il de l’environnement dans lequel baigne l’individu ? Ou alors, quand on est optimiste, l’est-on pour tout et pas uniquement dans un environnement particulier ? L’est-on pour la vie ou juste pour un moment ? Ces questions a priori triviales sont en fait cruciales dès lors qu’on se livre à une analyse plus fine de ce que recouvre ce trait qu’on attribue à certains… ou pas…
L’objectif est donc de préciser ce qu’il est possible d’entendre par « optimisme ». Il s’agit ensuite de faire le tri quant à ses conséquences. Or, vous verrez que celles-ci ne sont pas forcément toujours bénéfiques. Il sera montré par ailleurs que le pessimisme peut, à certaines conditions, aussi avoir des conséquences bénéfiques.
Au-delà de cette phase d’approche conceptuelle, je présente ses conséquences dans différents domaines : au travail, dans le sport, ou la santé. Le pessimisme défensif, la vision du monde ou l’espoir seront développés. Des modalités potentielles d’intervention seront expliquées et présentées. Un accent sera mis sur l’individualisation dans la compréhension des comportements, au même titre que l’auditoire sera averti de la nécessaire approche complexe qu’ils impliquent.
Il est coutumier en France de voir plutôt ce qui ne va pas plutôt que de voir ce qui va bien. Il y a une tendance à vite repérer les faiblesses. Les points forts, quant à eux, ne sont souvent pas identifiés ou trop peu exploités…
Pourtant, c’est sur ses qualités, véritables ressources psychologiques, que l’individu va pouvoir s’appuyer pour se confronter à une tâche, quelle qu’elle soit. De nombreuses recherches portent sur l’intérêt que cela peut représenter de les exploiter et de donner aux individus l’occasion de les identifier et d’y avoir recours. Promouvoir un environnement permettant aux salariés de les exploiter est de nature à entretenir leur motivation, ce qui en retour vient augmenter leur niveau de performance et de satisfaction. Il semble donc s’avérer bien plus profitable de créer des conditions qui permettent aux salariés d’identifier et d’exploiter leurs points forts plutôt que de chercher à corriger leurs points faibles.
La question se pose alors de savoir comment faire. Comment les identifier ? Comment les exploiter, voire les développer ? Y a-t-il des modalités de management particulières ? Quelles sont les forces dont il est question ?
Mon objectif en tant qu’expert en psychologie positive est donc de définir ces forces, et de vous aider à identifier les vôtres. L’intérêt de s’appuyer sur ces dernières sera démontré ainsi que des modalités d’interventions.
Souvent présentée comme une approche révolutionnaire permettant d’apporter des solutions miracles à tous les maux de la Terre, la psychologie positive est en réalité une approche scientifique et intégrative du bien-être et du fonctionnement optimal des personnes et des groupes.
Elle permet d’apporter des éléments de compréhension qui sont complémentaires aux courants préexistants dans le champ de la psychologie. Elle donne aussi des prismes d’analyses originaux. Par contre, elle n’a rien à voir avec les recettes miracles que les uns perçoivent à travers elle, ni une exacerbation d’un individualisme primaire au service d’un libéralisme poussé à l’extrême pour les autres. Si elle présente un intérêt incontestable, force est de constater que, comme toute approche scientifique, elle présente aussi un certain nombre de limites.
Au final, l’appellation même « psychologie positive » cristallise un certain nombre de crispations, d’où l’importance du lien qu’il est possible de faire entre théories et pratiques, afin de préciser les choses et d’envisager des applications concrètes.
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