IPPA 2023, c’est terminé !

Place à l’ECPP 2024 et surtout au congrès francophone de février 2024 !

Le congrès Mondial du réseau mondial de psychologie positive (IPPA) qui a eu lieu en juillet dernier à Vancouver est maintenant terminé. Il a permis à l’ensemble de la communauté de se retrouver, ce qui n’avait plus été le cas depuis le dernier congrès de Melbourne (2019), le congrès 2021 ayant eu lieu en distanciel. Le congrès européen de Reykjavik de 2022 avait déjà été un succès, mais cette édition 2023 a réuni plus de participants issus de plus de nationalités. Un haut niveau scientifique et une belle convivialité ont fait de cet événement un vrai succès qui a permis aussi de souder les liens.

L’absence de Robert Vallerand, ancien Président de l’IPPA, aura bien entendu été remarquée. Je lui souhaite d’ailleurs un prompt rétablissement ! Personnellement, la satisfaction vient des communications assurées par Céline Hachet qui soutiendra sa thèse en novembre prochain et de Marie Oger qui l’a soutenue en novembre 2021. Céline a assuré une communication affichée traitant de l’efficacité du job-crafting dans l’amélioration de la qualité de vie au travail. Marie Oger a coordonné un symposium sur l’éducation qu’elle avait soumis.

Elle a assuré sa propre communication orale portant sur l’identification de profils d’élèves et de leurs conséquences en termes de motivation et de santé perçue. Elle a par ailleurs modéré les quatre autres communications du symposium. C’est le signe que leurs recherches respectives sont au niveau d’une telle manifestation. Il faut savoir qu’un tel congrès est très sélectif. Avoir une communication acceptée est donc en soi une très grande satisfaction.

De mon côté, j’ai à la fois assuré la coordination d’un symposium qui traitait du recours aux forces de caractère des salariés dans le management, de son développement et des interventions. La littérature dans le domaine commence à devenir conséquente. Vaut-il mieux chercher à faire monter les individus en compétences en les faisant travailler sur leurs points faibles ou vaut-il mieux s’appuyer sur leurs forces pour les faire évoluer ? Les résultats convergent de plus en plus en faveur de la seconde option tant quant aux effets bénéfiques sur la satisfaction au travail que sur les performances de l’entreprise.

Plusieurs échéances m’attendent maintenant. Il y a bien sûr la rentrée universitaire qui approche à grands pas, mais surtout le dépôt des quatre thèses que j’ai co-encadrées :

L’articulation de ces différentes thèses se fait autour de l’éducation qui est au centre de mes propres problématiques, dans le champ de l’éducation mais aussi de la santé, du travail, du sport ou de l’activité physique. L’ensemble de ces travaux donnera de la matière à la fois pour l’actualisation de mes cours, des formations que j’encadre mais aussi dans la perspective du prochain congrès international de psychologie positive qui se déroulera à Innsbruck en juin-juillet prochains. Mais d’ici là, il y aura le congrès francophone organisé sous l’égide de l’Association Française et francophone de Psychologie Positive à l’École Centrale de Lyon les 1er et 2 février 2024 ! D’ici là je vous proposerai d’autres post et d’autres actualités ! À bientôt !!!

NB :

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